Source: MeDirect 22/02/19
La volatilité (terme qui désigne les fluctuations de cours) a sérieusement augmenté au cours de ces derniers mois et semaines. La descente en flèche des vacances de Noël a été suivie par une remontée
après le début d’année. La plupart des stratèges des sociétés de gestion s’accordent pour dire que les marchés vont continuer à se montrer volatils en 2019 et qu’il ne faut
pas s’attendre à une solide reprise. Même s’ils estiment bel et bien que les bourses se retrouveront dans le vert. Ils s’attendent en moyenne à des gains de 6 % (dividendes compris) pour l’ensemble des marchés
mondiaux en 2019.
Comment gérer au mieux ces fluctuations des cours ? La vérité, c’est que le ‘moment idéal’ pour investir est impossible à prévoir. C’est pourquoi il est conseillé d’investir
par exemple chaque mois une petite somme. Autrement dit, d’étaler ses placements et d’écarter ainsi la composante psychologique négative de l’investissement, c.-à-d. cette petite voix qui vous dit d’acheter
massivement lorsque les bourses sont en hausse et de vendre dès que le vent tourne. En tant qu’investisseur débutant, vous pouvez ainsi vous constituer progressivement un joli capital. Et comme tout se déroule automatiquement
et sans influence émotionnelle, vous réduisez le risque d’un mauvais timing, comme dans l’exemple ci-dessous.
Les plans d’épargne en fonds (Portefeuilles-Modèles) des banques, par exemple, constituent un moyen pratique d’investir périodiquement. Cette formule est déjà possible moyennant de faibles montants. La règle veut que l’on commence au plus tôt. Votre rendement sera en effet plus élevé si vous placez 250 euros par mois pendant 20 ans plutôt que 500 euros pendant 10 ans. Un plan d’investissement est par ailleurs extrêmement flexible : vous pouvez augmenter ou diminuer le montant, cesser temporairement votre plan et le réactiver quand bon vous semble.
En périodes de faibles taux, chaque euro engrangé compte. Comparez dès lors les frais que les banquiers réclament pour leurs plans d’épargne en fonds. L’ouverture d’un tel plan ne vous coûte rien,
mais les grandes banques font payer des frais plus élevés, surtout à l’entrée. Ces derniers sont généralement moins élevés auprès des plus petits acteurs. MeDirect est la seule banque
à ne compter ni frais d’entrée, ni frais de sortie (inconditionnels), ni frais de garde pour pouvoir investir dans ses Portefeuilles-modèles. En ce moment, la banque propose en outre une action qui prévoit de vous
accorder jusqu’à 500 € de prime de bienvenue si vous investissez avant le 15 mai 2019.
N’entamez pas un plan d’épargne en fonds si vous comptez y mettre un terme au bout d’un an. Avec un horizon de placement de moins de cinq ans, un tel plan n’est pas une bonne solution. En effet, les bourses ne font pas que
grimper, il leur arrive aussi de s’effondrer. Pour les fonds, on conseille en général de prévoir une durée d’au moins huit ans. C’est la raison pour laquelle un tel plan d’investissement se révèle
par exemple aussi intéressant pour les (grands-)parents qui désirent donner un petit coup de pouce financier à leur (petit-)enfant plus tard.
Un plan à votre nom ou à celui de votre (petit-)enfant ? Les enfants sont particulièrement bien protégés en matière pécuniaire. Les comptes ouverts à leur nom leur appartiennent. D’où
la tendance à choisir d’ouvrir un tel plan à son propre nom dans un premier temps, histoire de garder le contrôle et d’offrir cette poire pour la soif au moment que l’on jugera opportun. Ce don peut se faire sous
forme de don bancaire : le bénéficiaire ne paie ni droits de donation, ni droits de succession, à condition que le donateur vive encore trois ans. Qu’advient-il lorsque le (grand-)parent décède avant que
l’argent n’ait pu être donné aux (petits)enfants ? Le testament peut alors constituer une solution judicieuse.
Investir périodiquement via un plan d’épargne en fonds (Portefeuille-modèle) ? Jetez un œil sur MeDirect.be, c’est investir malin sans frais d’entrée.
En ce moment, vous recevez même jusqu’à 500 € de prime de bienvenue.